Marché ouvert :
Ce sont les offres d’emploi. Faciles à repérer (d’autant plus grâce à notre article récent à ce sujet), mais il est souvent difficile d’obtenir le job en raison d’une concurrence très élevée (cf cet article – « Il espionne 653 concurrents »). Mot d’ordre : se démarquer par tous les moyens !
Marché caché :
Il s’agit des postes à pourvoir qui ne font pas l’objet d’une annonce d’emploi, mais que l’on peut éventuellement toucher grâce à une candidature spontanée ou bien via son réseau. Il peut être difficile d’y accéder, mais l’avantage est qu’on évite la concurrence accrue si on arrive au bon moment. Pour en savoir plus, pourquoi ne pas lire cet ouvrage de l’Apec (Guide du marché caché de l’emploi aussi disponible via le Sudoc), qui est encore très actuel !
Marché potentiel :
Dans ce cas, le poste n’existe pas, mais il y a la possibilité de le créer en faisant naître un besoin, en discutant avec le dirigeant ou les salariés, et en prouvant les apports-bénéfices par exemple d’un chargé de veille dans l’entreprise.
Pour le toucher, il faut étudier la société et son activité, entamer des discussions pour en savoir plus et développer un maximum d’arguments. Difficile d’accès mais peut amener à des emplois dont vous êtes parfois le seul à déterminer la fiche de poste, quel confort !