La biographie de Steve Jobs en anecdotes :
– Sans le savoir, il a rencontré son père biologique. Steve Jobs fut adopté par un couple d’origine modeste en Californie. Le jour où il apprit l’identité de son père biologique, il se rendit compte qu’il s’agissait d’une personne qu’il côtoyait régulièrement : Abdulfattah Jandali, syrien d’origine tenait un restaurant dans la Silicon Valley, où Steve Jobs avait ses habitudes.
– Le nom d’Apple provient de l’époque où Jobs tentait tout un tas de régimes dont un, basé sur la consommation de fruits. Il a eu l’idée d’utiliser le nom de la pomme qu’il trouvait «amusant, évocateur et rassurant».
– Steve Jobs était désagréable avec ses employés et ne croyait pas au succès des applications. Selon son biographe, «Jobs n’était pas le meilleur manager du monde. En fait, ça a peut-être été l’un des pires». Le credo de Jobs : «Que chacun puisse me dire que je suis une merde et que je puisse dire à tout le monde que je pense que ce sont des merdes». Il était en plus très entêté, un véritable lobbying a d’ailleurs été nécessaire pour le convaincre d’ouvrir l’iPhone aux applications externes.
– Steve Jobs a révélé porter une grande admiration pour Mark Zuckerberg, déclarant : « On parle de réseaux sociaux au pluriel, mais il n’y a personne d’autre que Facebook. Facebook qui domine tout ça. J’admire Mark Zuckerberg. Je l’admire pour ne pas avoir vendu son entreprise. J’admire cela, beaucoup. »
– A la fin de sa vie, Steve Jobs a confié à son biographe qu’il pensait encore pouvoir être sauvé, croyant qu’une nouvelle forme de traitement pourrait guérir son cancer. Jobs évoquait alors la vie après mort et la question de Dieu disant : «Parfois j’y crois, parfois je n’y crois pas. C’est du 50-50. Mais parfois, je pense que la vie est comme un bouton allumer/éteindre. En un clic, vous disparaissez», a-t-il dit. «Voilà pourquoi je n’aime pas mettre de bouton allumer/éteindre sur les produits Apple.»
Par Marine Fichot
Avant d’intégrer le Master Information-Communication, Marine Fichot a obtenu un DUT Information-Communication, option GIDO (Gestion de l’Information et du Document dans les Organisations) et une licence Sciences de l’Information, Médias, Culture, option Education/Formation, à Dijon. « Afin de se confronter au monde professionnel et à la réalité du secteur », elle a effectué des stages au cours de ses études dont un stage dans le service de Documentation de Publicis Groupe à Paris, un autre stage à ABL Formation à Dijon où elle a été en charge de l’élaboration et du rafraîchissement de la charte graphique des documents adressés au public. Marine Fichot a également effectué un stage à la Cinémathèque de Bourgogne Jean Douchet, situé sur le campus universitaire à Dijon.
Marine Fichot : « I have a dream ! Moi aussi j’ai fais un rêve ! Et le mien a été, au delà de travailler dans le secteur de l’Info-Comm, de devenir Conceptrice-Rédactrice. Car (la lecture et) l’écriture sont depuis longtemps une passion pour moi. Fantaisiste, j’aime jouer avec/sur les mots, cela essentiellement à l’écrit. D’où cette passion pour ce métier et d’où le choix de mon stage à Publicis, qui grouillait de concepteurs-rédacteurs, DA et créatifs en tout genre ! »
Pour en savoir davantage sur Marine Fichot rendez-vous ici : http://www.doyoubuzz.com/marine-fichot
Cette année, les étudiants du Master 1 Ingénierie des Métiers de l’Information (Université de Bourgogne) animeront le Printemps Infocom 2013. Vous retrouverez leurs textes, des biographies sur des personnalités liées à l’infocom, tout au long de la saison.